Lettre à toi
Je te vois,
Perdue, je ne sais où.
Tu ne regardes plus
Parfois, juste tes pieds.
En plein désarroi
Les yeux un peu flous
Je ne t’atteins plus
Et mon cœur est serré
Comment te remettre sur la route ?
Je te sens en pleine déroute.
Quelquefois, ton rire jaillit
Comme une étincelle de vie
Moments trop rares
Que j’alimente avec plaisir
Tu perds ton regard hagard
Tu ne te laisses plus mourir
J’ignore encore, ce qui t’attend
Mais tant que tu tiendras ma main
Et ton cœur près du mien
Nous irons ensemble, maman
Maridan 7/11/2015
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