Variations autour du même thème
La valse des vautours a commencé
Ils éructent, vocifèrent sans cesse
Déballant tous leurs sinistres secrets
Leurs petites histoires de fesses.
Le goût du pouvoir les aveugle
Les voici tous, en train de s’étriper
Il faut dire que la place est bonne
Pour ces pantins qui se croient des hommes.
Et nous autres, les « sans dents », qu’ils pompent
Devons assister à ces pugilats.
Car bien que nous sachions qu’ils nous trompent
Nous n’avons pour choix que ces scélérats
Mais un vent de liberté se lève
Et bientôt, leur argent mercenaire
Mort, sous le feu de notre colère
N’étouffera plus jamais nos rêves.
Maridan 8/11/2016
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