TIPAZA
« La mer caresse les rochers,
entre les colonnes de pierre
le regard vogue vers l’immensité
Vagues voluptueuses et éphémères
Le ciel à la tonalité saphir
Semble un écrin précieux pour ces vestiges
Je rêve. Je t’imagine dans un soupir
À Tipaza. Dans ces ruines où tout se fige
Mais la nuit tombe, et tu es toujours là
Les étoiles illuminent le ciel devenu noir
Et ton fantôme se serre dans mes bras,
Cette nuit, il n’y aura pas de désespoir
Au cœur de mon âme, tu étincelles,
En mon ventre, la brûlure incandescente
Sirène malicieuse, tu m’ensorcelles
Mais Dieu, que tes jeux m’enchantent. »
Maridan 10/2012
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